Ecco perché sono sparite le noci del Brasile by Jedi Simon
Fonte: http://www.cirad.fr/actualites/toutes-les-actualites/articles/2009/science/noix-du-bresil
La domanda che mi sono posto, allorché mi trovavo in un supermercato, nel
reparto frutta secca, e desideravo acquistare un pacchetto di noci del Brasile,
che era qualche anno che non trovavo più da nessuna parte. Misteriosamente
sparite. Come sempre, se una cosa sparisce, c'e' sicuramente un motivo grave,
altrimenti continuerebbero a venderla tranquillamente. Allora mi do da fare, e
dopo qualche giro nei supermercati vicini, finalmente ne trovo un pacco. Lo
acquisto, ed ecco che felicemente le assaporo nuovamente, ma queste, per qualche
strano motivo, mi paiono assai più secche e asciutte di quelle che ricordavo,
untuose, e saporite. Dipenderà forse dalla maniera nella quale sono state
tostate. Queste, sono di quelle sgusciate, e appena levigate, quasi per togliere
loro la pellicina protettiva marrone, e farle un poco più lisce. Sono un poco
più piccole di quelle che ricordavo, ma tutto sommato, abbastanza buone. Ne
mangio qualcuna davanti al pc, e poi, dato che la domanda che mi ero posta, non
ha ancora avuto una risposta, vado a cercarla. Non si sa mai. E difatti, come al
solito, c'era sotto qualcosa. Mi tocca cercare prima in Italiano, ma non trovo
nulla, poi in Inglese, e trovo ancora meno, e infine, in Francese, capito su
questa fonte, che riporterò integralmente, affinché possiate farvi una idea da
soli, in merito alla cosa. Ecco la risposta; e mentre la leggo, poso le noci, le
guardo un attimo con aria dubbiosa, e procedo con la lettura, tanto ad ogni modo
l'appetito mi si è bloccato. Magari dopo mi torna voglia di mangiarle. Adesso
leggiamo insieme questo articolo del 2009, che, anche se datato, è l'unica
traccia che ho trovata circa l'argomento.
Forse qui c'e' la risposta, e ringrazio il ricercatore che ne ha preservata la
memoria, pubblicando questo articolo e ringraziandolo a nome di tutti per il
servizio reso alla comunità. Ecco cosa accadde.
Noix du Brésil : exporter à nouveau vers l’Europe
06/05/2009 - Article
L’an 2000 a sonné le glas des exportations de noix du Brésil en coque vers l’Europe.
En cause : trop d’aflatoxines pour les règles de sûreté alimentaire en vigueur
dans l’Union. Les résultats d’un projet coordonné par le Cirad pointent les
éléments à revoir pour exporter à nouveau vers l’UE.
Entre 2000 et 2004, les exportations brésiliennes de noix du Brésil en coque,
essentiellement dirigées vers l’Union européenne, ont chuté de près de 90 %. La
raison : en 1999, la réglementation européenne a été renforcée en abaissant les
taux autorisés en aflatoxines. Ces toxines, reconnues pour leurs effets
cancérigènes chez l’homme, sont produites par des moisissures qui contaminent
les noix. En outre, à partir de 2003, l’Europe a imposé des contrôles
systématiques des lots en provenance du Brésil, ceux-ci devant être réexpédiés
ou détruits en cas de non-conformité. Une seule solution pour récupérer le
marché européen : prévenir et maîtriser la production des aflatoxines. Le projet
Safenut, financé par le Fonds pour l'application des normes et le développement
du commerce (FANDC) et coordonné par le Cirad, a permis de déterminer les points
critiques concernant la croissance des champignons et la production des
aflatoxines tout au long des filières actuelles. Il propose également des
recommandations quant aux bonnes pratiques de production.
Un séchage efficace des noix après la collecte en forêt et un temps de stockage
réduit
Les travaux ont été réalisés au Brésil dans le cadre de deux filières
sélectionnées dans les principaux états producteurs et exportateurs de noix :
l’Acre et le Pará, situés respectivement à l’ouest et à l’est de la région
amazonienne. Les chercheurs ont évalué l’efficacité des pratiques actuelles
destinées à maîtriser la production des aflatoxines. Ils ont analysé toutes les
étapes de la filière, de la collecte des noix au pied de l’arbre dans la forêt à
la phase industrielle où les noix en coque séchées et sélectionnées sont prêtes
à être exportées. Résultats : la présence d’aflatoxines à des taux élevés
provient d’un séchage insuffisant des noix suivi d’un stockage sur
plusieurs mois en forêt dans les communautés de producteurs avant leur transport
vers les sites industriels. Les techniques utilisées – séchage au soleil ou par
circulation d’air naturel – conduisent en effet à des teneurs en eau optimales
pour la production des aflatoxines pendant le stockage. Lors des étapes
précédentes, les taux de toxines sont généralement inférieurs aux limites
européennes. Lors des étapes ultérieures, en industrie, les noix en coque sont
déjà fortement contaminées, et les étapes de sélection ne sont pas efficaces
pour réduire les aflatoxines (les noix doivent être décortiquées).
Comment donc améliorer le système? Dans les communautés de producteurs, les
chercheurs ont proposé de tester des séchoirs simples, adaptés aux conditions
amazoniennes et permettant de sécher efficacement les noix après leur collecte.
Le temps de stockage doit également être réduit. L’autre solution est de
transporter les noix dans les 10 à 30 jours suivant leur collecte vers les
usines où le séchage est efficace. En outre, « les zones de production sont
éloignées des centres industriels et souvent difficiles d’accès », indique
Catherine Brabet, responsable du projet au Cirad. Il convient donc de
sélectionner des zones proches des industries qui sont plus particulièrement
dédiées à la production en vue de l’exportation vers l’Europe. Les chercheurs
ont par ailleurs développé des modèles statistiques permettant de prédire la
production des toxines en fonction de facteurs environnementaux et écologiques.
Des propositions partagées et discutées avec les acteurs de la filière
Le projet Safenut a également permis de valider une méthode d’analyse des taux
d’aflatoxines rapide, fiable, peu coûteuse et simple d’utilisation par les
industries de la filière. « Cette méthode doit pouvoir être utilisée par les
acteurs de la filière pour surveiller les taux d’aflatoxines tout au long de la
chaîne de production , précise Catherine Brabet. Plutôt que d’effectuer un
contrôle unique du produit final, ils peuvent alors décider, en cours de route,
du devenir et du traitement des lots de noix ». Des industriels brésiliens, mais
aussi boliviens et péruviens, ont été formés à cette méthode. Ils ont également,
de même que des producteurs, été sensibilisés aux bonnes pratiques de
production. « Ces formations ont constitué une partie intégrante du projet ,
souligne Catherine Brabet. Elles ont permis de diffuser et de mettre en débat
les propositions formulées par les chercheurs ». Par ailleurs, l’atelier final
du projet, a permis à la Commission européenne, avec la participation d’un de
ses représentants, de mieux comprendre la complexité de la filière ainsi que les
problèmes de contamination par les aflatoxines pour aborder, à l’avenir, les
questions relatives au commerce des noix.
Enfin, sur la base de ces résultats, le comité du Codex sur les contaminants
dans les aliments a proposé de réviser le guide de bonnes pratiques du Codex
Alimentarius en prenant en compte les recommandations du projet Safenut. Ce
guide suggère notamment jusqu’alors de sécher les noix au soleil ou par
circulation d’air naturel. Force est de constater que cette recommandation n’est
pas suffisante.
Le projet Safenut a été financé par le Fonds pour l'application des normes et le
développement du commerce (FANDC) pour une durée de deux ans et demi (juin 2006
– nov. 2008).
Ecco scoperto cosa è accaduto realmente. Qualcuno, un giorno, analizzando la superficie delle noci, scopre che erano contaminate e stavano ammuffendo. Analizza il tipo di muffe, e scoperto che sono ricoperte di aflatossine. Tali funghi, notoriamente cancerogeni per l'uomo, pongono un serio problema per la salute. Devono essere eliminate dal prodotto, oppure, come accade, lo stesso prodotto deve essere spedito al mittente, perché contaminato. Le noci quindi spariscono dal mercato Europeo, e non se ne sa più nulla.
Attraverso quelli che paiono essere consigli assolutamente sensati, si evince che tali noci dovrebbero essere asciugate meglio, per un periodo di almeno trenta giorni, al sole o seccate meglio all'aria. Non dovrebbero essere stoccate troppo a lungo, per evitare possibili contaminazioni, e tutto il processo della loro distribuzione dovrebbe essere accorciato.
Ecco perché dopo essere state via per qualche anno, quelle appena mangiate
paiono più secche, asciutte e anche meno saporite.
Se fossero bastate queste semplici indicazioni per risolvere la cosa, immagino
che il prodotto non sarebbe sparito dal mercato, con perdite calcolabilissime da
parte degli esportatori e di tutta la filiera. Ciò significa, che sebbene le
indicazioni, che avrebbero dovuto essere applicate, a tali prodotti, secondo un
protocollo standard, non sono state sufficienti a garantirne la loro
reintroduzione, apparentemente non c'è stato null'altro da fare che bloccarne la
circolazione.
Quindi mi pongo la domanda seguente: Cosa sono queste aflatossine? Dal momento
che risulterebbero essere così pericolose e nocive per la salute da impedire
alle mie noci di circolare liberamente nei mercati?
Cerco la risposta, e fortunatamente scopro che un ente deputato al controllo
di questi standard di sicurezza alimentare sta facendo il proprio lavoro. Si
chiama STDF ed è una global partneship.
"The Standards and Trade Development Facility (STDF) is a global partnership
that supports developing countries in building their capacity to implement
international sanitary and phytosanitary (SPS) standards, guidelines and
recommendations as a means to improve their human, animal and plant health
status and ability to gain or maintain access to markets."
Ora vediamo cosa sono le Aflatossine.
Aflatossina: le aflatossine sono delle micotossine. = funghi.
Le aflatossine (o afflatossine) sono micotossine prodotte da specie fungine
appartenenti alla classe degli Ascomiceti (genere Aspergillus) oppure da alcune
muffe. Le aflatossine sono altamente tossiche e sono ritenute essere tra le
sostanze più cancerogene esistenti.
In condizioni ambientali favorevoli le spore degli Aspergillus germinano e
successivamente colonizzano svariate tipologie di alimenti, quali granaglie,
mais, arachidi ed altri semi oleosi.
Il termine aflatossina deriva proprio dall'Aspergillus flavus, responsabile
della prima epidemia da micotossine documentata, riscontrata nel 1961. Tale
epidemia si diffuse a partire da una partita di farina di arachidi
contaminata che causò la morte di più di 10.000 tacchini e, ignorandone le
cause, venne in un primo momento chiamata proprio per questo Malattia X del
tacchino (in inglese Turkey X disease).
Esistono svariati tipi di aflatossine, i principali sono:B1
B2
G1
G2
I derivati metabolici M1 ed M2
Le lettere B e G derivano dalle inziali delle parole inglesi "green" (verde) e "blue"
(blu) che indicano il tipo di fluorescenza che tali sostanze emettono quando
sono sottoposte a luce ultravioletta di 360 nm; la lettera M, invece, è
l’iniziale della parola inglese "milk", cioè latte, dove viene ritrovata la
sostanza.
Le aflatossine B1, B2, G1, G2 ed M1 sono fortemente sospettate di indurre
mutazioni nel DNA e quindi cancerogene.
L'aflatossina più pericolosa, secondo la letteratura, è la B1. Eccole qui.
Perdonate la precisione, ma è meglio esserlo in questi casi.
B1 1162-65-8 C17H12O6 312.28 2,3,6a,9a-tetrahydro-4-methoxycyclopenta(c)furo(3',2':4,5)furo(2,3-h)(1)benzo-pyran-1,11-dione
B2 7220-81-7 C17H14O6 314.29 2,3,6aa,8,9,9aa-Hexahydro-4-methoxycyclopenta(c)furo(2',3':4,5)furo(2,3-h)chromene-1,11-dione
G1 1165-39-5 C17H12O7 328.28 7AR,cis)3,4,7a,10a-tetrahydro-5-methoxy-1H,12H-furo(3',2':4,5)furo(2,3-h)pyrano(3,4-c)chromene-1,12-dione
G2 7241-98-7 C17H14O7 330.29
1H,12H-furo(3',2':4,5)furo(2,3-h)pyrano(3,4-c)(1)benzopyran-1,12-dione
M1 6795-23-9 C17H12O7 328.28
(6AR-cis)-2,3,6a,9a-tetrahydro-9a-hydroxy-4-methoxycyclopenta(c)furo(3',2':4,5)furo(2,3-h)(1)benzopyran-1,11-dione
M2 6885-57-0 C17H14O7 330.29
2,3,6a,8,9,9a-Hexahydro-9a-hydroxy-4-methoxycyclopenta(c)furo(3',2':4,5)furo(2,3-h)(1)
benzopyran-1,11-dione
Cancerogenesi
L'azione mutagena delle aflatossine B1 ed M1 è legata alla formazione dell'epossido, un intermedio metabolico che forma legami covalenti con la catena del DNA. Da studi effettuati sembra che l'aflatossina tipo M1 sia più cancerogena della B1 a dare la Sindrome di Reye. L'aflatossicosi che la caratterizza presenta sintomi da esposizione con epatotossicità e cancerogenicità, cioè ascite, ipertensione portale e notevole danno cellulare al fegato. I danni al sistema immunitario invece sono stati dimostrati in vivo su cavie da laboratorio esposte ad 5-6 mg/ml di aflatossine del mais (granaglie). Gli effetti immunosoppressivi non sono stati ancora verificati sull'uomo ma si è focalizzato l'effettivo potenziale cancerogeno delle aflatossine (Evan Gallagher,Seattle US 1998). Da studi indiani del 1968, sarebbe dimostrato che le aflatossine in associazione ad alte quantità di caseine, predisporrebbero all'insorgere di tumori maligni.
A questo punto viene da chiedersi quale siano in modo specifico questi funghi che attaccano i semi oleaginosi. Ecco la risposta in dettaglio. Fonte: http://www.romerlabs.com/en/knowledge/mycotoxins/ che ci viene in aiuto.
Mycotoxins
Mycotoxins are secondary metabolites of moulds, contaminating a wide
range of crop plants and fruits before or after harvest, the most important
mycotoxins being: Aflatoxins, Deoxynivalenol, Ochratoxin A, Fumonisins,
Zearalenone, Patulin and T-2 Toxin. The acute and chronic impact of mycotoxins
on human and animal health is proven scientifically. Mycotoxin contamination is
recognized as an unavoidable risk because the formation of fungal toxins is
weather dependant and effective prevention is impossible.
According to the FAO, more than 25 % of the world's agricultural production is
contaminated with mycotoxins. This equates to economic losses estimated at $923
million annually in the US grain industry alone. Most countries have adopted
regulations to limit exposure to mycotoxins, which has strong impact on food and
animal crop trade. The presence of mycotoxins is unavoidable and, therefore,
testing of raw materials and products is required to keep our food and feed safe
Aflatoxins
Aflatoxins are a group of mycotoxins produced by some Aspergillus species like
A. flavus or A. parasiticus. Aflatoxin B1, B2, G1 and G2 and the hydroxylated
metabolite M1 are of primary interest, with aflatoxin B1 the most frequently
occurring of these. Aflatoxins can be found on a wide range of commodities
including cereals, nuts, spices, figs and dried fruit. Aflatoxin M1, the
metabolite of Aflatoxin B1, is found in milk and dairy products. Aflatoxins are
of major interest because of their impact on both human and animal health.
Aflatoxin B1 is one of the most potent hepato-carcinogens known and hence levels
of aflatoxins in the diet are an important consideration for human health.
Most countries have established regulatory limits for either aflatoxin B1 or for
total aflatoxins, which includes the sum of aflatoxin B1, B2, G1, and G2, as
well as regulatory limits for Aflatoxin M1. Very often regulations also include
detailed sampling procedures, as this is one of the most crucial steps in
ensuring reliable results.
Romer mills® are designed especially for grinding large quantities of various
commodities and to subsample the lot within the same step. A variety of methods
and technologies are available for the analysis of grains, cereals, nuts and
other possibly infected commodities.
Qualitative Yes/No test
We recommend using the AgraStrip® Afla for testing raw commodities such as grain
or groundnuts for the presence of aflatoxins with a certain “cut off level”
(e.g. 4µg/kg, 10µg/kg, 20µg/kg). This lateral flow test with three different
cut-off levels (4ppb, 10ppb, 20ppb) can be performed in less than five
minutes and needs no additional laboratory equipment.
Low cost screening of cereals – sequential analysis of samples
If subsequent samples have to be tested and a quantitative result is required as
soon as possible, we recommend using FluoroQuant® Afla. This test gives
quantitative results within five minutes, needs very little equipment, and can
be processed easily.
Low cost screening – testing many samples at once
Another possibility for getting quantitative results within a short time period
and with low investment costs is ELISA technology. We recommend using
AgraQuant®Afla if a large number of samples need to be analyzed at the same time,
as this is the most efficient way to use this technology.
Cost efficient way to semiquantitative results
Thin Layer Chromatography (TLC) is a cost-efficient way to establish methods for
the detection of mycotoxins, especially if laboratory facilities and trained
personnel are available. We offer a variety of clean-up columns for the use
prior to TLC. Highly reproducible and reliable results can be achieved, if an
Autospotter is used to apply samples.
Reference method
A widely used reference method in case of regulatory issues is High Performance
Liquid Chromatography (HPLC) with fluorescence detection (FLD). We offer a
variety of cleanup columns, a post-column derivatization unit (either
photochemical or electrochemical) and a vast variety of reference materials
including isotope labled calibrants which can be used as internal standards in
MS applications.
Trichothecenes
Deoxynivalenol
T-2 Toxin
Trichothecenes (T-2, DON and others) are a group of sesquiterpenes produced by
various Fusarium species like F. graminearum, F. sporotrichioides, F. poae or F.
equiseti. The most important structural features causing the biological
activities of trichothecenes are: the 12,13-epoxy ring, the presence of hydroxyl
or acetyl groups at appropriate positions on the trichothecene nucleus and the
structure and position of the side-chain. They are produced on many different
grains like wheat, oats or maize.
This group of structurally related mycotoxins has a strong impact on the health
of animals and humans due to their immunosuppressive effects. Type A
trichothecenes (e.g. T-2 toxin, HT-2 toxin, Diacetoxyscirpenol) are of special
interest because they are even more toxic than the related type B trichothecenes
(e.g. Deoxynivalenol, Nivalenol, 3- and 15-Acetyldeoxynivalenol). Their major
effects – related to their concentration in the commodity – are reduced feed
uptake, vomiting and immuno-suppression.
Only a few countries have recommended levels for these mycotoxins in food and
animal feed, but tests are often used to prevent them from entering the food
chain and losses in animal production. As with all mycotoxin tests, sampling is
the most crucial step in ensuring reliable results. Our Romer® mills are
specially designed for grinding large quantities of various commodities and to
subsample the lot in one step. For the testing of cereals and other relevant
commodities, many methods and technologies are available:
Low cost screening – testing many samples at once
A possibility for getting quantitative results in a short time with low
investment costs is ELISA technology. We recommend using Agraquant® DON or
Agraquant® T-2 Toxin if a large number of samples need to be analyzed at the
same time, as this is the most efficient way to use this technology.
Cost efficient way to semiquantitative results
Thin Layer Chromatography (TLC) is a cost efficient way to test trichothecenes.
We offer a variety of cleanup columns for sample preparation prior to TLC.
Highly reproducible and reliable result can be achieved, especially if an
Autospotter is used to apply the samples. This technology can be recommended if
a laboratory and trained personnel is available.
Reference method
The reference method is either Gas Chromatography (GC) combined with Electron
capture detection (ECD) or with Mass Spectrometry (MS) or High Performance
Liquid Chromatography (HPLC) with Variable Wavelength Detection (VWD) or, more
recently, also in combination with Mass Spectrometry (MS). We offer a variety of
cleanup columns for sample preparation and a vast variety of reference materials
including isotope labled trichothecenes which can be used as internal standards
in MS applications.
Fumonisins
Fumonisin B1Fumonisins are a group of mycotoxins produced by Fusarium species
such as F. moniliforme and F. proliferatum. Corn is the commodity mainly
affected. Conditions favoring Fumonisins formation are drought stress followed
by warm, wet weather. Fumonisins have various effects on humans and animals,
causing equine leukoencephalomalacia, pulmonary edema in swine, and they are
suspected to influence the formation of esophageal cancer in humans.
Our Romer® mills are specially designed for the grinding of large quantities of
various commodities and to subsample the lot in one step. Many methods and
technologies are available for the testing of corn, cereals and other
commodities.
Low cost screening – testing many samples at once
A possibility for getting quantitative results in a short time with low
investment costs is ELISA technology. We recommend using AgraQuant® Fumonisin if
a large number of samples need to be analyzed the same time, as this is the most
efficient way to use this technology.
Cost efficient way to semiquantitative results
Thin Layer Chromatography (TLC) is a cost-efficient way to detect Fumonisins. We
offer cleanup columns for sample preparation prior to TLC. Highly reproducible
and reliable result can be achieved, especially if an Autospotter is used to
apply the samples.This technology can be recommended if a laboratory and trained
personnel is available.
Reference method
The reference method is High Performance Liquid Chromatography (HPLC) with
fluorescence detection (FLD) after a derivatization step or the use of an LC-MS
system (Liquid chromatography combined with mass spectrometry). We offer cleanup
columns and reference materials, including stable isotope labeled calibrants for
fumonisins.
Ochratoxin
Ochratoxin
Ochratoxin A, B, and C are mycotoxins produced by some Aspergillus species and
Penicilium species, like A. ochraceus or P. viridicatum, with ochratoxin A as
the most prevalent and relevant fungal toxin of this group.
Ochratoxin A is known to occur in commodities such as cereals, coffee, dried
fruit and red wine. It is considered as a human carcinogen and is of special
interest as it can be accumulated in the meat of animals. Thus meat and meat
products can be contaminated with this toxin.
Regulatory limits have been established in many countries worldwide, also in the
European Union. Very often regulations include detailed sampling procedures, as
this is one of the most crucial steps in ensuring reliable results. Romer® mills
are specially designed for grinding large quantities of various commodities and
for subsampling the sample batch within one step.
For testing of cereals, wine, dried fruit and of other possibly infected
commodities a variety of methods and technologies are available:
Low cost screening – testing many samples at once
A fast and cost-effective possibility for receiving quantitative results within
a short time with low investment is ELISA technology. We recommend using
AgraQuant® Ochratoxin if a number of samples have to be analyzed at one time.
Cost efficient way to semiquantitative results
Thin Layer Chromatography (TLC) is a cost-efficient way of establishing methods
for the detection of mycotoxins, especially if laboratory facilities and trained
personnel are available. We offer a variety of cleanup columns for the cleanup
of Ochratoxin A and B prior to TLC. Highly reproducible and reliable results can
be achieved, if an Autospotter is used to apply samples.
Reference method
A widely used and accepted reference method is High Performance Liquid
Chromatography (HPLC) with Fluorescence Detection (FLD). We offer a variety of
cleanup columns for the cleaning up of Ochratoxin A and B prior to HPLC analysis.
Zearalenone
Zearalenone is a mycotoxin produced by Fusarium species like F. graminearum. It
mainly occurs in grains and cereal products. Zearalenone is not acutely toxic
but is a problem because of its estrogenic effects on mammals. The negative
effects on reproductive systems makes it a concern in animal husbandry.
Only a few countries have imposed recommended levels for this mycotoxin in
animal feed, but it is often tested to prevent losses in animal husbandry. As
with all mycotoxin tests, sampling is the most crucial step ensuring reliable
results.
Our Romer® mills are specially designed for grinding large quantities of various
commodities and subsampling the lot in one step. Many methods and technologies
are available for the testing of cereals and of other possibly infected
commodities.
Low cost screening – testing many samples at once
A possibility to get quantitative results in a short time with low investment
costs is ELISA technology. We recommend using AgraQuant® Zearalenone if a number
of samples need to be analyzed the same time. This is the most cost-efficient
way to use this technology.
Cost efficient way to semiquantitative results
Thin Layer Chromatography (TLC) is a cost-efficient way to detect mycotoxins. We
offer a variety of cleanup columns for sample preparation necessary prior to
TLC. Highly reproducible and reliable result can be achieved with TLC,
especially if an Autospotter is used to apply the samples. This technology can
be recommended if a small laboratory and trained personnel is available.
Reference method
The reference method is High Performance Liquid Chromatography (HPLC) with
Fluorescence Detection (FLD). We offer a variety of cleanup columns for sample
preparation prior to the injection of a sample into the HPLC system.
Patulin
Patulin is produced by Penicillium species and Aspergillus species Contamination
with this mycotoxin mainly occurs on damaged or rotting fruits such as apples,
pears, peaches and grapes. Patulin is suspected to be carcinogen.
As Patulin occurs mainly in fruits and fruit juices which are often used as baby
or infant food, some countries have established regulatory limits. For testing
possibly affected commodities like fruits and fruit juices we recommend using
HPLC-UV.
We offer cleanup columns for simple and rapid cleanup of various commodities
prior to the injection into HPLC. Our cleanup columns shorten sample preparation
time significantly compared to the usually used liquid liquid partition. Also
the reduction in working steps and the easier handling helps to reduce errors.
Ergot Alkaloids
Ergotamine
Ergot alkaloids are mycotoxins produced by fungi of all members of the Claviceps
species, most important in terms of frequency being C. purpurea. These fungi
infect the seed heads of plants during the flowering period and produce a
wintering body, also known as sclerotium. Such structures are mainly found on
rye, wheat and triticale, but also on other cereals and grasses. Sclerotia
contain different classes of alkaloids, the most prominent being ergometrine,
ergotamine, ergosine, ergocristine, ergocryptine and ergocornine.
Ergot alkaloids exert toxic effects in all animal species, and the most
prominent toxic signs can be attributed to the interaction of ergot alkaloids
with adrenergic, serotinergic and dopaminergic receptors. Typical clinical
symptoms are vasoconstrictions that may progress into vaso-occlusion and
gangrenous changes, but also abortions. The neurotoxic signs comprise feed
refusal and dizziness but also convulsions. Typical dopaminergic effects are
agalactia accompanied with insufficient nursing of suckling animals such as
piglets and foals.
Romer Labs® offers special cleanup columns as well as reference materials for
ergot analysis. Chromatographic methods are mainly used for the chemical
analysis of ergot alkaloids and for the direct monitoring of the occurrence of
ergot alkaloids in food and feed. Nowadays, the most important analytical
technique for the analysis of ergot alkaloids is reversed phase HPLC-FLD. We now
offer a cleanup column for sample preparation before HPLC analysis. This column
eliminates the very extensive and time consuming cleanup step previously in many
instances.
Other Mycotoxins
CitrininMycotoxins are secondary metabolites of fungi and occur on a wide range
of commodities. There are more than 200 currently known mycotoxins belonging to
different groups of chemical structures. Their effects on human and animals are
as manifold as their chemical structures. Most countries worldwide have
regulatory limits for some mycotoxins, the most frequently regulated one is
aflatoxin B1. Regulation usually also include a detailed sampling procedure as
this is the most crucial step in ensuring reliable results. Our Romer® mills are
especially designed for grinding large quantities of various commodities and for
subsampling the lot in one step as well.
Citrinin
Citrinin can be detected using Thin Layer Chromatography (TLC) or High
Performance Liquid Chromatography. In both cases, food a clean-up of the raw
extract is extremely important to obtain reliable results.
Moniliformin
Moniliformin is a very polar molecule that can be detected by Thin Layer
Chromatography (TLC) or High Performance Liquid Chromatography. We offer a
specialized one-step clean up column for the cleanup of the raw extract.
Sterigmatocystin
A mycotoxin structurally related to the family of the aflatoxins. It can be
detected by the use of Thin Layer Chromatography after the use of a simple
one-step clean up column.
Cyclopiazonic acid
This mycotoxin often co-occurrs with aflatoxins. A method for the detection of
this toxin is Thin Layer Chromatography. The clean up can be done using a Romer®
clean-up column.
Ascomycota, Whittaker Q. Rev. Biol. 34: 220, 1959.
I membri della divisione Ascomycota sono funghi che producono spore in un
caratteristico tipo di sporangio chiamato asco (dal greco = "sacco", "otre").
Questo gruppo monofiletico è un gruppo estremamente significativo di organismi
(12000 specie al 1950) che include circa il 75% di tutte le specie di funghi
censiti. Vi appartengono gran parte dei funghi che si associano ad alghe o a
cianobatteri per formare i licheni e parte dei funghi che mancano di evidenze
morfologiche relative alla riproduzione sessuale (precedentemente inclusi nei
Deuteromycota ed ora raggruppati nei funghi mitosporici). Le specie più
conosciute di Ascomycota sono le morchelle, i tartufi, i lieviti e i Penicillium.
Appartiene a questo gruppo, oltre che ai Deuteromycota, anche la maggior parte
dei funghi patogeni delle piante. Sordaria fimicola, Neurospora crassa e molte
altre specie di lieviti sono impiegati in laboratorio, in esperimenti di
genetica e di biologia cellulare.
Un Ascomycota produce un gran numero di aschi che possono essere contenuti in
una struttura chiamata ascocarpo (o ascoma). Ciascun asco di solito contiene 8
(o un multiplo di 8) ascospore, risultato di una mitosi successiva ad una
meiosi.
L' Aspergillus
è un genere che comprende circa 200 muffe. L' Aspergillus fu per la prima volta
catalogato nel 1729 dal sacerdote e biologo italiano Pier Antonio Micheli. La
vista dei funghi al microscopio fece venire a Micheli in mente la forma di un
aspersorio (latino aspergillum) (spruzzatore di acqua lustrale) e denominò il
genere di conseguenza.
Le specie appartenenti a questo genere sono fortemente aerobiche e crescono
in quasi tutti gli ambienti ricchi di ossigeno, di solito sulla superficie di un
substrato.
Molte specie si sviluppano a danno di cibi ricchi di amido, come i cereali e le
patate.
Diverse specie manifestano inoltre il fenomeno dell'oligotrofia: sono in grado
di crescere in ambienti poveri o addirittura privi di nutrienti fondamentali:
Aspergillus niger cresce sui muri umidi.
Importanza medica
Alcune specie di Aspergillus, in particolare l' Aspergillus fumigatus e l'
Aspergillus flavus, possono produrre infezioni nell'uomo e negli animali, note
con il nome di aspergillosi. Queste infezioni colpiscono tipicamente l'apparato
respiratorio (naso e polmoni), dal quale, in casi particolari, possono
estendersi ad altri organi.
Esistono anche infezioni a carico della pelle e dell'orecchio esterno. L'
Aspergillus fumigatus e l' Aspergillus clavatus possono provocare allergie.
Diverse specie producono sostanze estremamente tossiche come le aflatossine,
che, oltre alla tossicità diretta, sono anche cancerogene. La presenza di
aflatossine è oggetto di importanti limitazioni e frequenti controlli in alcune
categorie di alimenti.
Dannosità e utilità
L' Aspergillus può danneggiare una serie di alimenti che non vengono
conservati sotto vuoto, soprattutto se ricchi di amidi. Alcune specie, come l'
Aspergillus alliaceus, sono patogene per le piante coltivate (in particolare il
mais), altre producono malattie negli animali d'allevamento.
D'altra parte, non mancano le specie di Aspergillus che risultano utili per le
attività dell'uomo.
L' Aspergillus niger viene usato per la produzione di acido citrico, al punto
che oltre il 99% della produzione mondiale di questo acido (ovvero quasi 5
milioni di tonnellate all'anno) avviene grazie a questo microrganismo.
Aspergillus niger viene usato anche per la produzione di alcuni enzimi.
L'Aspergillus fumigatus viene utilizzato per la sintesi della 4-idrossicumarina.
Gli Aspergillus Oryzae o Sojae vengono utilizzati per la produzione di salsa di
soia.
Dal momento che non ho intenzione di farne un trattato almeno per ora, mi fermo qui.
Scoperto l'arcano, adesso si tratta di comprendere quali
contromisure attuare per prevenire tali contaminazioni su vasta scala, come pure
domestiche, dal momento che tali funghi, si trovano a loro agio su questo mondo
apparentemente da molto prima della nostra stessa comparsa.
Si tratta di far fronte ad un problema di coesistenza, che ci pone, in una
condizione di evidente inferiorità, sia numerica, che di carattere eco sistemico
naturale, poiché proprio dall'atteggiamento "TUTTO MIO" che alcuni colossi
alimentari e multinazionali del settore hanno adottato, si evince che il cibo,
attraverso improprio condizionamento, produzione, controlli di qualità e
distribuzione non confacente, per via delle sempre più massificate produzioni,
sia finito vittima di una sindrome da "Disergia Alimentare Mondiale", che
starebbe trasformando gli stessi alimenti in veleni, contaminandoli, piuttosto
che rispettandoli, etrattandoli con le dovute cure, attenzioni e maniere.
Si assiste ad un progressivo disgregamento e dissoluzione dei principi
nutritivi, per seguire una politica alimentare della forma, che non contiene più
nulla, a parte lo sforzo di apparire perfetta, e non ha più alcun sapore, mentre
le spore prendono il suo posto come abbiamo visto.
Per incuria, a seguito di certi criteri di economicità, si vive passivamente
ormai da troppi anni, in silenzio, la procedura sistematica di avvelenamento dei
cibi da parte dei colossi, e dei governi che consento loro di applicare tali
trattamenti su scala macroscopica, avvelenando quello che una volta era cibo.
In questo contesto generale, l'introduzione della parolina magica "Bio", pare
qui rispondere massimamente ad esigenze di tipo economico fondate sul lucro
facile, mentre le aspettative della comunità, verrebbero disattese su scala
mondiale.
Se aumenta la richiesta di merci biologiche, è perché il voto
generale verso le merci prodotte su scala industriale, sono stati bocciati. Si
domandino allora i Governi, in termini di scelte democratiche alimentari, se la
loro condotta, permissività e applicazioni di decreti e leggi, nel quadro delle
politiche alimentari, siano o meno adeguate, consone e rispettose della volontà
popolare espressa pure se con gran fatica, attraverso scelte di merito ed
economicamente penalizzanti da parte del popolo, che vorrebbe una migliore
qualità dei prodotti, piuttosto che scoprirsi avvelenato, preso in giro e
alimentato come un qualsiasi pollo da batteria.
E' ora di domandarsi quali misure si stiano prendendo a livello sociale,
nazionale e sovranazionale per garantire la qualità dei cibi che mangiamo,
reintroducendo principi etici e di condotta corretti. E aggiungerei, per
maggiore incisività, e scarso amore per la vaghezza, l'introduzione del criterio
di responsabilità determinata civile e penale e la non ammissibilità del
concetto di immunità, in favore di quei gruppi che si sono trovati immischiati
in scandali, crimini contro l'umanità, o avvelenamento globale, e la creazione
di un fondo assicurativo obbligatorio, che possa far fronte ai danni eventuali e
conseguenti che un prodotto commercializzato, contaminato, per incuria,
ignoranza o consapevolmente adulterato, da parte di quei gruppi industriali che
lo hanno immesso nei mercati, possa coprire le spese degli eventuali danni
generati da esso riguardanti la salute.
L'introduzione di sostanze tossiche atte a limitare solo ed esclusivamente i danni apparenti visibili che potrebbero mostrare i prodotti, non può essere più giustificata, poiché essa ponendo la commerciabilità prima che l'idoneità, quale esigenza primaria, è di per se prova evidente di un atteggiamento criminoso non ammissibile.
Alla luce delle attuali metodologie di analisi, di controllo e
di sicurezza alimentare, velocissime e attuabili a costi prossimi allo zero,
sarebbe il caso di istituire centri di controllo epidemiologico, biologico,
alimentare e chimico, atti ad analizzare, scoprire immediatamente e verificare
la presenza di sostanze nocive, nei cibi o nell'ambiente.
Dal canto mio, ora, vado a mettere un poco di noci del Brasile in coltura. Se ci
trovo Aspergillo, proverò a decontaminarle in qualche modo, e poi vi dirò come
fare. Di mangiarle, manco a pensarlo, mi è passato l'appetito.
by Amonakur
copyright 2012
Compiled and written by Amonakur